La mise en œuvre du modèle FREEDcan repose sur la collaboration et le partenariat entre de nombreux secteurs. Compte tenu des besoins considérables en matière de soins pour les troubles alimentaires qui ont surgi au cours de la pandémie, comme en témoigne la demande de soutien importante des jeunes auprès d’un bon nombre d’organismes, de nombreux secteurs sont à la recherche de ressources pour les aider à soutenir les jeunes aux prises avec des troubles alimentaires ou l’alimentation chaotique qui accèdent à leurs services. FREEDcan espère mobiliser un large éventail de secteurs des services aux jeunes, y compris les services de santé mentale et de lutte contre les dépendances, les services intégrés pour la jeunesse, les services de santé sur les campus, les équipes de santé familiale et les soins primaires. Tous les fournisseurs, pairs aidants (jeunes et membres de la famille), administrateurs et membres du personnel médical et de soutien qui ont choisi de mettre en œuvre le modèle FREEDcan au sein de leur service sont invités, au minimum, à suivre une formation afin d’être mieux informés sur les troubles alimentaires.